2007-06-28
2007-06-27
2007-06-26
Inside The Fire
Também é escaldante, mas não tem nada de pornográfico: o excelente blogue Inside The Fire, da nossa Patrícia.
2007-06-25
2007-06-22
2007-06-21
2007-06-20
Serge Gainsbourg
«J’ai essayé l’amitié et c’est encore plus difficile que l’amour. J’ai toujours été déçu dans mes amitiés. Alors ça donne quoi, ça donne un gars solitaire.»
«Je ne veux pas qu’on m’aime mais je veux quand même.»
«Mai 68 ? Eh bien j’étais au Hilton, dans une suite et j’entendais les bang bang bang des gamins. Dans ma tête, je me disais c’est foutu puisqu’ils ne sont pas armés, il ne peut pas y avoir de révolution s’il n’y a des armes que d’un côté. Alors je suis resté au Hilton et j’ai attendu que ça se passe. Je suivais ça sur le tube cathodique, avec l’air conditionné... Si c’est pas du cynisme, ça !»
«Quand j’ai dit à Whitney Houston : I want to fuck you, c’était hard, d’accord, mais quelle pire insulte que de dire à une femme : Vous êtes intirable ?»
«Un jour, au Touquet, j’étais pianiste de bar, un type me donne une pièce de un franc. Moi avec toute mon arrogance je me lève et lui dis : Monsieur je ne suis pas un juke-box !»
«Si le Christ était mort sur une chaise électrique, tous les petits chrétiens porteraient une petite chaise en or autour du cou.»
«Il y a trois fourreaux, celui avec les dents, celui que le judéo-christianisme permet pour procréer, et puis l’autre... Précieux. Alors là, évidemment, c’est plus restreint et plus contracté, donc plus intéressant pour moi. Quand j’ai été initié au sadisme par le mec du même nom, il y avait un héros dans Justine, un noble d’ailleurs, qui se mettait en fureur dès qu’il voyait un con ! Il voulait voir des culs et seulement des culs ! Eh bien, je suis un peu comme ça. Parce qu’un cul, moi je dirais, c’est pullman ; et un con, c’est le wagon à bestiaux.»
«Une fille sans tabou est une mauvaise amoureuse. S'il n'y a pas d'interdit, si l'on perd le sens des voies interdites, alors je ne vois pas d'où viendraient les excitations! La femme moderne fera des tas d'homosexuels dans l'avenir, parce qu'elle se veut libérale. Moi, je suis très conservateur là-dessus. Je suis un réac amoureux.»
«Il y a un proverbe arabe qui dit : Le Bédouin qui dort sur le sable ne craint pas de tomber de son lit.»
«La posterité ? Comme disait l’autre : Qu’est-ce que la posterité a fait pour moi ? Je fucke la posterité.»
«Je ne veux pas qu’on m’aime mais je veux quand même.»
«Mai 68 ? Eh bien j’étais au Hilton, dans une suite et j’entendais les bang bang bang des gamins. Dans ma tête, je me disais c’est foutu puisqu’ils ne sont pas armés, il ne peut pas y avoir de révolution s’il n’y a des armes que d’un côté. Alors je suis resté au Hilton et j’ai attendu que ça se passe. Je suivais ça sur le tube cathodique, avec l’air conditionné... Si c’est pas du cynisme, ça !»
«Quand j’ai dit à Whitney Houston : I want to fuck you, c’était hard, d’accord, mais quelle pire insulte que de dire à une femme : Vous êtes intirable ?»
«Un jour, au Touquet, j’étais pianiste de bar, un type me donne une pièce de un franc. Moi avec toute mon arrogance je me lève et lui dis : Monsieur je ne suis pas un juke-box !»
«Si le Christ était mort sur une chaise électrique, tous les petits chrétiens porteraient une petite chaise en or autour du cou.»
«Il y a trois fourreaux, celui avec les dents, celui que le judéo-christianisme permet pour procréer, et puis l’autre... Précieux. Alors là, évidemment, c’est plus restreint et plus contracté, donc plus intéressant pour moi. Quand j’ai été initié au sadisme par le mec du même nom, il y avait un héros dans Justine, un noble d’ailleurs, qui se mettait en fureur dès qu’il voyait un con ! Il voulait voir des culs et seulement des culs ! Eh bien, je suis un peu comme ça. Parce qu’un cul, moi je dirais, c’est pullman ; et un con, c’est le wagon à bestiaux.»
«Une fille sans tabou est une mauvaise amoureuse. S'il n'y a pas d'interdit, si l'on perd le sens des voies interdites, alors je ne vois pas d'où viendraient les excitations! La femme moderne fera des tas d'homosexuels dans l'avenir, parce qu'elle se veut libérale. Moi, je suis très conservateur là-dessus. Je suis un réac amoureux.»
«Il y a un proverbe arabe qui dit : Le Bédouin qui dort sur le sable ne craint pas de tomber de son lit.»
«La posterité ? Comme disait l’autre : Qu’est-ce que la posterité a fait pour moi ? Je fucke la posterité.»
2007-06-18
2007-06-17
Países terríveis: Polónia (i)
A Polónia é um país terrível. Se todos nós desprezamos as pessoas que vivem de subsídios e à custa do trabalho dos outros, o que dizer de um país inteiro de oportunistas? A Polónia foi um resultado infeliz do Tratado de Versalhes, que redesenhou o mapa da Europa após a Primeira Grande Guerra e dilacerou o território da Alemanha vencida. Os alemães ficaram chocados com os polacos por terem aceite territórios aos quais não tinham qualquer direito histórico nem conquistaram militarmente. Isto explica a brutalidade inaudita da invasão da Polónia por Hitler em 1939. Porém, não se pense que a Polónia foi um caso de resistência heróica a um invasor desumano e com o coração «fechado à piedade», porque em matéria de crueldade e sadismo essa gente quase que suplantou os nazis. Em retaliação pela invasão, os polacos cometerem as suas próprias atrocidades: dezenas de milhares de alemães étnicos foram deportados e assassinados. O pior massacre ocorreu a 3 de Setembro em Bromberg, onde foram mortos mais de mil alemães. E durante a ocupação, nenhum povo foi tão solícito como o polaco a denunciar judeus: não porque as circunstâncias difíceis os obrigassem a isso, mas apenas a troco de vodka, fósforos e dinheiro. A proclamação da República Popular a 22.7.1944 não fez grande coisa para remediar esse carácter oportunista e avesso ao mérito individual. Mesmo os maiores nomes polacos das artes e do espectáculo – Chopin, Karol Wojtyla, Roman Polanski – tiveram de abandonar o país para serem reconhecidos.
2007-06-14
2007-06-12
Margarida Rebelo Pinto (ii)
Margarida Rebelo Pinto publicou mais um livro. Isto significa que não estamos apenas perante a produção de um livro, mas de um verdadeiro evento mediático. Tudo aquilo que é escrito, dito ou feito por esta senhora tem o condão tem de suscitar as maiores controvérsias, embora nem sempre por razões ligadas à literatura. Mas se nos ativermos à literatura, chegaremos à conclusão que a Rebelo Pinto se limitou, mais uma vez, a escrever um bom livro. A rapariga que perdeu o coração não desilude os fãs. O humor, a inteligência e a argúcia continuam lá. A autora faz nova incursão pelo território interminável dos contos de fadas e de lá regressa com uma história rica em sentimentos. Talvez seja mesmo o seu texto mais encantador de sempre. Ao contrário do que sucede com a sua protagonista, o coração da Margarida Rebelo Pinto continua bem vivo.
2007-06-09
2007-06-07
Lola rennt (ii)
«Manni?»
«Mhm.»
«Liebst du mich?»
«Na sicher.»
«Wie kannst du sicher sein?»
«Weiss nicht. Bin’s halt.»
«Aber ich könnte auch irgendeine andere sein.»
«Nee.»
«Wieso nicht ?»
«Weil du die Beste bist.»
«Die beste was?»
«Na, die beste Frau.»
«Von allen, allen Frauen?»
«Klar.»
«Woher willst du das wissen?»
«Ich weiss es halt.»
«Du glaubst es.»
«Na gut, ich glaub’s.»
«Siehste.»
«Was?»
«Du bist dir nicht sicher.»
«Sag mal, spinnst du jetzt, oder was?»
«Und wenn du mich nie getroffen hättest?»
«Was wär dann?»
«Dann würdest du jetzt dasselbe ‘ner anderen erzählen.»
«Was erzähl ich denn ?»
«Dass ich die Beste bin und so.»
«Ich brauch’s ja nicht zu sagen, wenn du’s nicht hören willst.»
«Ich will überhaupt nichts hören. Ich will wissen, was du fühlst.»
«Okay. Ich fühle, dass du die Beste bist.»
«Dein Gefühl. (Pause) Wer ist das, dein Gefühl?»
«Wie meinst du das?»
«Na, wer ist das, der da zu dir spricht.»
«Na ich. (Überlegt) Mein Herz.»
«Dein Herz sagt: ‘Guten Tag, Manni, die da, die ist es’?»
«Genau.»
«Und du sagst dann: ‘Ach ja, recht herzlichen Dank für diese Information, auf Wiederhören bis zum nächsten Mal’?
«Genau.»
«Und du machst alles, was dein Herz dir sagt?»
«Na ja, das sagt ja nichts… es fühlt halt.»
«Und was fühlt es jetzt?»
«Es fühlt, dass da jemand gerade zuviel blöde Fragen stellt.»
«Ach Mann, du nimmst mich überhaupt nicht ernst.»
«Ey. Lola, was ist los?»
«Ich weiss nicht.»
«Willst du weg... von mir?»
«Ich weiss nicht. Ich muss mich grad entscheiden... glaub ich.»
«Mhm.»
«Liebst du mich?»
«Na sicher.»
«Wie kannst du sicher sein?»
«Weiss nicht. Bin’s halt.»
«Aber ich könnte auch irgendeine andere sein.»
«Nee.»
«Wieso nicht ?»
«Weil du die Beste bist.»
«Die beste was?»
«Na, die beste Frau.»
«Von allen, allen Frauen?»
«Klar.»
«Woher willst du das wissen?»
«Ich weiss es halt.»
«Du glaubst es.»
«Na gut, ich glaub’s.»
«Siehste.»
«Was?»
«Du bist dir nicht sicher.»
«Sag mal, spinnst du jetzt, oder was?»
«Und wenn du mich nie getroffen hättest?»
«Was wär dann?»
«Dann würdest du jetzt dasselbe ‘ner anderen erzählen.»
«Was erzähl ich denn ?»
«Dass ich die Beste bin und so.»
«Ich brauch’s ja nicht zu sagen, wenn du’s nicht hören willst.»
«Ich will überhaupt nichts hören. Ich will wissen, was du fühlst.»
«Okay. Ich fühle, dass du die Beste bist.»
«Dein Gefühl. (Pause) Wer ist das, dein Gefühl?»
«Wie meinst du das?»
«Na, wer ist das, der da zu dir spricht.»
«Na ich. (Überlegt) Mein Herz.»
«Dein Herz sagt: ‘Guten Tag, Manni, die da, die ist es’?»
«Genau.»
«Und du sagst dann: ‘Ach ja, recht herzlichen Dank für diese Information, auf Wiederhören bis zum nächsten Mal’?
«Genau.»
«Und du machst alles, was dein Herz dir sagt?»
«Na ja, das sagt ja nichts… es fühlt halt.»
«Und was fühlt es jetzt?»
«Es fühlt, dass da jemand gerade zuviel blöde Fragen stellt.»
«Ach Mann, du nimmst mich überhaupt nicht ernst.»
«Ey. Lola, was ist los?»
«Ich weiss nicht.»
«Willst du weg... von mir?»
«Ich weiss nicht. Ich muss mich grad entscheiden... glaub ich.»
2007-06-05
Currywurst
Ein guter Grund, Berlin zu besuchen: Die Currywurst!
Uma boa razão para visitar Berlim: a salsicha com caril!
2007-06-01
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